En cas de situations périlleuses dans la vie de couple au point où la cohabitation devient insupportable, les partenaires procèdent au divorce. Cette mesure présente un certain nombre d’effets et est remarquée sous plusieurs formes. Cet article portera la charge de la présentation du divorce ainsi que ses diverses formes.
Comment appréhender le divorce ?
La notion de divorce est appréciée en cas de mariage. On la définit comme la séparation de deux personnes, homme et femme qui avaient préalablement formé une convention bilatérale. Le divorce est donc la dissolution du lien né de l’union, de deux individus de sexe opposé, faite en matière civile ou religieuse. Il naît d’un certain nombre de désaccords observés au sein du couple. C’est donc l’élément majeur des causes du divorce, car il rend difficile la vie commune. Notons cependant qu’il existe une différence entre l’écartement et la dissolution de l’union. Cette différence n’est pas négligeable, car sa maîtrise entraîne un choix judicieux. L’écartement entraînant l’expulsion de la cohabitation maintient les obligations de l’union entre les deux partenaires. Il s’oppose à la dissolution de lien qui entraîne le fait qu’aucun partenaire n’a plus d’obligation envers l’autre. À l’instar des obligations en cas d’union, nous avons la sincérité, qui proscrit les mensonges entre partenaires. La considération réciproque demandant à ce qu’il n’y ait pas de discrimination, de brimade ou d’acte relatif à la supériorité. Les époux doivent également de s’entraider, c’est-à-dire qu’ils doivent s’apporter mutuellement de l’aide. Et pour finir l’obligation de protection qui se classe dans la même catégorie que celui d’entraide. La dissolution de l’union connaît quelques conséquences. Au nombre de ses conséquences, on énumère la cessation immuable de l’union, le démembrement de la fortune de la famille et la rupture de l’institution conjugale.
Les diverses formes de divorce
Après analyse de la notion, le divorce a connu une classification. Celle-ci fait remarquer qu’il existe principalement quatre (4) types de divorces. Ces divorces ont un processus propre et des effets variés. La première forme de rupture est la rupture par accord mutuel. C’est la forme de rupture qui se décide entre les partenaires. Elle nécessite l’entente à mettre fin à l’union. Les partenaires se décident aussi, ensemble, sur les effets de cette mesure par rapport à la garde de leur descendance et sur les prestations à fournir à l’égard de cette dernière. Il faut ajouter que l’action peut se faire hors des juridictions. Quant à la deuxième forme de rupture, elle est la dissolution acceptée. Cette dernière suit une procédure en matière juridique. Cette action qui fait intervenir les juridictions est due aux désaccords sur la gestion des effets de la rupture. Une fois la juridiction saisie, seule la question de la gestion des effets sera étudiée. Ainsi, le juge ne s’intéressera aucunement à la raison de la décision de la rupture. La dissolution pour cessation immuable de l’union est la troisième forme de rupture. Il relève des juridictions. Cette action se fait suivant quelques conditions primordiales. Cependant, il est exigé que l’action soit engagée uniquement si les partenaires vivent dans une condition opposée à la cohabitation. Et enfin, la dernière forme de rupture. La rupture pour erreur, qui est la quatrième forme. Comme celle qui la précède, elle est purement d’ordre juridique. Cette rupture consiste en ce que le juge analyse et fait ressortir le non-respect des engagements et des contraintes propres à l’union. Le partenaire étant à la base sera soumis à subventionner le processus de désunion.
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